La semaine dernière, les corps de deux mouettes infectées par la grippe aviaire ont été retrouvés dans le Val-de-Marne. Une zone de contrôle temporaire a été établie autour de Créteil.
L’Ile-de-France est en alerte. Après la découverte de deux cas de grippe aviaire chez des mouettes trouvées sur les rives du lac de Créteil la semaine dernière, la préfecture du Val-de-Marne a mis en place une zone de contrôle temporaire pour éviter la propagation du virus.
Le rayon de 20 km autour de Créteil n’est pas que le Val-de-Marne : 31 communes des Hauts-de-Seine et 59 communes de l’Essonne en font également partie.
Mesures pour prévenir la propagation
Le département de Seine-et-Marne a également été concerné par cette zone de contrôle temporaire : 36 communes étaient sous le périmètre établi autour de Criteille et 10 communes ont été implantées à Crépy-en-Valois dans l’Oise. . défini dans la section
Dans les communes associées à cette zone de contrôle, l’objectif est d’empêcher la propagation du virus parmi les populations avicoles. Les professionnels comme les particuliers sont concernés par les mesures prises.
Ainsi, un professionnel qui observe des signes d’influenza aviaire ou de mort anormale sur son élevage doit contacter un vétérinaire et signaler à la Direction de la protection du public.
Les personnes qui trouvent un oiseau mort de l’influenza aviaire ne doivent pas le toucher, mais doivent signaler sa découverte à l’Office français de la biodiversité.
Ces mesures comprennent également “l’enregistrement de tous les lieux où sont détenus à des fins commerciales ou non des volailles ou autres oiseaux captifs”, explique la préfecture de Seine-et-Marne sur son site internet.
Le suivi des exploitations a été renforcé dans les hokim respectifs. La préfecture du Val-de-Marne montre pourtant à nos confrères que Parisien Aucun nouveau cas de grippe aviaire n’a été signalé depuis la découverte de deux mouettes la semaine dernière.
Différentes préfectures rappellent que la grippe aviaire n’est pas dangereuse pour l’homme. Par conséquent, les produits à base de volaille peuvent être consommés sans risque. En revanche, l’homme peut être porteur du virus et le transmettre aux volailles.
